Lors de la conférence de presse d'aujourd'hui, le président de Bari, Luigi De Laurentiis, a évoqué, entre autres, la rencontre avec le cheik potentiellement intéressé par l'achat du club ces derniers mois.
Les mots de De Laurentiis
De Laurentiis s'est exprimé sur divers sujets concernant le club.
Ce sont ses propos rapportés par planètebari. D’abord une blague sur le timeshare : «Si la loi sur la multipropriété devait changer, cela changerait beaucoup pour nous. Nous ne sommes pas à vendre, mais nous ne fermons nos portes à personne."
Puis le passage sur la question du cheikh. "Après cette réunion, tout s'est terminé. Un feuilleton s’est créé à travers les journaux, il n’y a jamais rien eu de concret. À l'extérieur du stade, il n'est pas écrit « À vendre », mais je serai toujours prêt à écouter. Je n'ai pas travaillé pendant six ans pour reconstruire un club et ensuite m'en remettre au premier passant ou à des noms américains qui se sont révélés plus tard peu véridiques. Je quitterai le club lorsque je recevrai une proposition de quelqu'un qui a l'ambition de porter le club au sommet. Avoir une relation détendue avec la place n’est pas chose facile. Amener cinq mille fans à Salerne a été une excellente réponse. »
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